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Samedi 13 Août 2022
Lisa Batiashvili, Giorgi Gigashvili
Tsinandali Festival Presents
Ce nouveau partenariat avec un festival d’exception, nous permet de découvrir la Géorgie à travers ses plus grands interprètes. Lisa Batiashvili, est une violoniste d’élégance et d’émotion. Elle joue sur un exceptionnel instrument italien de Guarneri “del Gesu” de 1739, et parcourt le monde depuis son plus jeune âge. Écoutez donc son enregistrement des concertos de Tchaïkovski et de Sibelius, sous la direction de Daniel Barenboïm, il est exceptionnel. Quant au pianiste Georgi Gigashvili, il a obtenu des Grands Prix dans pas moins de huit prestigieux concours internationaux. Une somptueuse soirée de clôture à partager intensément.

*En partenariat avec le Tsinandali Festival
Scarlatti Sonate en do majeur, K.487 / Sonate en ré majeur, K.29 / Sonate en la majeur, K.113
Prokofiev Sonate pour piano n°7 en si bémol majeur, op. 83
***
Franck Sonate pour violon et piano en la majeur, FWV8
Tarif réduit : 30€
(pour les enfants, étudiants et demandeurs d’emploi)
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Château de la Moutte
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au programme
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Lisa Batiashvili

Lisa Batiashvili, violoniste allemande d'origine géorgienne, est très largement saluée par le public et ses collègues musiciens pour sa virtuosité. Artiste primée, elle a développé des relations de longue date avec les plus grands orchestres, chefs d'orchestre et musiciens du monde. Depuis 2021, Batiashvili a formé et dirige la Fondation Lisa Batiashvili, qui sert son rêve et son engagement de toujours à aider de très talentueux jeunes musiciens géorgiens à prospérer dans leur carrière musicale.

Batiashvili est le directeur artistique d'Audi Sommerkonzerte, Ingolstadt. Pour le Festival 2021, elle a interprété le concerto pour violon de Sibelius sous la direction de Sir Antonio Pappano et l'Orchestra dell'Accademia Nazionale di Santa Cecilia sous la devise "Lumières d'Europe".

En 2021/22, Batiashvili retourne en Amérique du Nord pour des concerts avec les orchestres symphoniques de Boston, du Minnesota, de Philadelphie et de Chicago. En hiver, elle entame sa deuxième tournée de récitals à travers l'Europe avec les partenaires du trio Jean-Yves Thibaudet et Gautier Capuçon, tandis que d'autres engagements incluent le Gewandhausorchester Leipzig, le Chamber Orchestra of Europe, le Royal Concertgebouw Orchestra et le London Symphony Orchestra.

Lisa Batiashvili se produit régulièrement sur scène avec des orchestres tels que le Berliner Philharmoniker, le London Symphony Orchestra, le Wiener Philharmoniker, le New York Philharmonic, le Royal Concertgebouw Orchestra, le Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks, le Staatskapelle Dresden, l'Orchestra dell'Accademia Nazionale di Santa et le Boston Symphony Orchestra, entre autres.

Enregistrement exclusif pour Deutsche Grammophon, le dernier album de Batiashvili "City Lights" est sorti en juin 2020. Le projet marque un voyage musical qui emmène les auditeurs du monde entier dans onze villes avec un lien autobiographique avec de la musique allant de Bach à Morricone, et Dvořák à Charlie Chaplin. Au Concert de Paris de renommée internationale le 14 juillet à Paris en 2020, elle a interprété la chanson "City Memories" qui a été diffusée à l'international.

Son précédent enregistrement – ‘Visions of Prokofiev’ (Chamber Orchestra of Europe/Yannick Nezet-Seguin) – a remporté un Opus Klassik Award et a été sélectionné pour les Gramophone Awards 2018. Parmi ses enregistrements antérieurs figurent les concertos de Tchaïkovski et Sibelius (Staatskapelle Berlin/Daniel Barenboim), Brahms (Staatskapelle Dresden/Christian Thielemann) et Chostakovitch n°1 (Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks/Esa-Pekka Salonen).

Bastiashvili a sorti des DVD de ses performances en live avec le Berliner Philharmoniker/Yannick Nézet-Séguin (Bartók Violin Concerto No.1) et avec Gautier Capuçon, Sächsische Staatskapelle Dresden et Christian Thielemann (Brahms’ Concerto for Violin and Cello).

Elle a remporté de nombreux prix : le MIDEM Classical Award, le Choc de l'année, le prix international Accademia Musicale Chigiana, le prix Leonard Bernstein du Schleswig-Holstein Music Festival et le Beethoven-Ring. Batiashvili a été nommé Instrumentiste de l'année par Musical America en 2015, a été nommé Artiste de l'année par Gramophone en 2017 et a reçu en 2018 un doctorat honorifique de l'Académie Sibelius (Université des Arts, Helsinki).

Lisa vit à Munich et joue un Joseph Guarneri « del Gesu » de 1739, généreusement prêté par un collectionneur privé.

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Minus
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Giorgi Gigashvili

Né à Tbilissi en Géorgie en 2000, Giorgi a pris ses premières leçons de piano sans jamais vraiment penser à devenir un pianiste professionnel. Passionné par le chant et les arrangements de chansons folk et pop géorgiennes, il a participé avec succès à divers concours de chants Géorgiens à partir de l'âge de 12 ans. Il a cependant poursuivi en parallèle sa formation musicale formelle à l'école Paliashvili Central Music School for Gifted Children et au Tbilissi State Conservatoire, sous la conduite de Revaz Tavadze.

Tout le monde a une idole, et pour Giorgi cela a toujours été Martha Argerich. Le tournant de sa carrière de pianiste s'est produit en avril 2019 lorsqu'il a remporté le 1er prix du concours international de piano de Vigo, où Martha Argerich présidait alors le jury aux côtés de Nelson Freire. Quelques mois plus tard, Giorgi a également remporté le troisième prix et le prix du public au 62ème Concours international de piano de Busoni.

En 2020, la pandémie de la Covid l’oblige à rester en Géorgie, où il commence à écrire de la musique électronique et des chansons devenues extrêmement populaires.

2021, d’autre part, apporte un nouveau regain à l'autre vocation de Giorgi, le piano classique : la Hortense Anda-Bührle Bursary, qui lui a été décernée lors du 15ème Concours de piano Géza Anda à Zurich, lui a valu une invitation au KlavierOlymp dans la ville Allemande de Bad Kissingen, où il y remporte le 1er prix ainsi que le prix du public. Parallèlement, il intègre la classe de Nelson Goerner à l’Université de Musique de Genève.

Giorgi est soutenu par Martha Argerich pour ses études à Genève, par la Fondation Lisa Batiashvili et la Fondation Géza Anda.

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